lundi 18 février 2013

Chomsky, le cognitivisme et l'objectivation du sujet.

Si l'épistémologie s'articule autour de trois pôles, l'objet, le sujet et l'intersujet ou communauté, la demande de Chomsky consiste à «objectiver le sujet». Ceci est tout à fait plausible si l'on s'en tient à la dimension matérielle de l'objet, puisque, comme dimension matérielle qui est, ça sera capable d'être l'objet de la recherche scientifique, comme on trouve avec d'autres organes de l'être humain.
  
Chomsky n'est pas hors de ce prémisse, donc il considère en tout temps la faculté du langage comme une faculté qui se trouve dans un esprit-cerveau physique. Toutefois, certaines questions telles que la prestation de sens semblent échapper à cette réalisation objectiviste et Chomsky semble ne jamais trouver une solution adéquate à ce problème, en trouvent des incohérences dans son discours. Le problème devient particulièrement aigu quand la sémantique influe directement sur la syntaxe. Est la création de significations subordonné au matériel et «objective»? Si non, cela ouvre une porte pour empêcher l'importance de la subjectivité et de la perception individuelle dans l'épistémologie en générale. Des questions similaires peuvent être faites sur les pensées, les sentiments ou plus important encore, la volonté. Trouvent-ils leur place dans un organe mental? Ou est-ce quelque chose qui est «au-delà» du physique et donc pas objectivable? 
 
Mais même en supposant que il y a un site dans le cerveau qui correspond à ces questions, nous avons encore une question, probablement le plus important du point de vue épistémique: Est l'organe cérébral de la volonté qui détermine la volonté de l'homme dès le début, ou bien a été la volonté et un "esprit" non matérielle initiale qui a été imprimé à l'organe cérébral de la volonté? Quand Chomsky établit une distinction entre la raison et le mystère, et surtout entre la science et le sens commun, semble tendre plus à ce dernier, même si son intention initiale était d'objectiver le plus le sujet. Bien sûr, si la bonne réponse était la première, cela signifierait la destruction de la nature subjective, ou plutôt la considérer comme un mécanisme créé par la nature objective.
  
Si à la suite de la doctrine organiciste on applique la même question à un organe mieux étudiée, comme le bras, la question a une réponse simple: Est-ce que notre volonté a déterminé la forme du bras ou est la forme du bras qui détermine notre volonté (de prendre une banane dans un bananier, par exemple)? Logiquement, le bras est né avec des caractéristiques initiales qui déterminent notre volonté (pour prendre une banane dans un bananier, mais pas la lune dans le ciel), mais en même temps, la volonté contribue à le façonner (p. ex. le bras d'un joueur de basket) , donc la réponse évolutionniste à la question ne donne pas une solution qui plait à tous. De plus, la réponse est encore plus compliquée si on considère le caractère aléatoire des mutations qui causent que deux organes soient jamais complétement la même chose comme un argument en faveur de une subjectivité donnée.

lundi 11 février 2013

Les œuvres d'art

En lisant, j'ai trouvé une jolie référence autour où est-ce qu'on doit trouver les œuvres d'art, faite par le philosophe Martin Heidegger.

«Les 'sculptures de Egina' de la collection de Munich, la Antigone de Sophocle dans la meilleure édition critique, elles ont été arrachés dehors leurs propres espaces tandis que des œuvres qu'elles sont. Cependant élevé son rang soie et fort son pouvoir de précision, cependant bien conservés et bien interprétés qu'elles continuent, en les boucher dans une collection on les a tiré de leurs mondes. Par ailleurs, même quand on essaye de prévenir ou éviter ses déplacements à aller, par exemple, a contempler le temple de Paestum a son place et la cathédral de Bamberg au milieu sa place, le monde de ces œuvres s'est effondré»

dimanche 10 février 2013

Démocracie?

Aujourd'hui, apparentement, est un jour normal. Je lis les canards: ces qui sont à droite et à gauche, et aussi je lis des blogs comme «El ventano» (d'ailleurs, un très bon blog). Pendant ces temps, mes amis, et la plupart des gens jeunes et pas jeunes, achètent, boivent, se couchent, et bien sûr, connaissent presque rien sur le monde, sauve les nouvelles les plus choquant.

Un jour chaque quatre ans, on a «le droit» de voter, et tout le monde a le même pouvoir: les impliqués et les non impliqués. Est-ce juste? Je ne crois pas. Alors, quelle est la solution? Permettre de voter seulement aux impliqués? Une méritocratie qui est seulement une façon de dictature?

Rien a voir. En fait, la meilleur façon de gouvernement est de nouveau l'assemblée populaire, l'assemblearisme. C'est la démocratie plus directe, mais en plus résout le problème de la implication. Tout le monde peut y aller et y participer dans les mêmes conditions toujours, et si on n'y va pas, on peut pas décider et parler: alors, c'est qui préféraient le football, les achètes, la fête ou le canapé n'ont pas le droit de faire parti du gouverne.

Mais bien sur, je ne vais pas finir sans dire que pour le correcte fonctionnement de l'assemblée est nécessaire une éducation spécifique et une nouvelle organisation territorial axée sur la décentralisation.

mardi 5 février 2013

Espagne est idiote



Aujourd'hui on publie le nouveau disque de «Def con Dos» et je vous présente le premier single, qu'on appelle "España es idiota" (L'Espagne est idiote) avec des paroles très bonnes pour connaître et analyser la situation à l'état espagnol.

C'est une situation, un situation «Def con dos». On va dire clairement, il ne peut pas durer longtemps, est tout simplement insoutenable …

Sent fou dans la peau du taureau
Sent fou dans la peau du taureau
Sent fraude à la commun destination
Sent arnaque à la grande fausseté
de la grande et libre
qui est aussi merde que rance

Sous le joug éternel
travaillent des flèches
à perpétuer les valeurs de la patrie
Lesquelles?
Bâclage, pèlerinage, cavale et ignorance!

Poudre blanche à la politique et la banque
Poudre blanche à la politique et la banque
Juges rances qui travaillent pour Franco
Gant blanc en faisant des nouveaux «pirularios»
Corruption et népotisme sur n'importe quel côté
Et tous dans puits à digérer leur miracle
Moustache, sourcils ou barbe grise
vote pour l’imbécile que vous plaît

Et qu'est-ce que je fait maintenant?
Avec ma vie folle.
Dans cet absurde,
si l'Espagne est idiote.
Les mêmes malins,
les mêmes idiots.
Serait-ce que nous sommes
tous stupides?
Tu peux le comprendre ou pas,
mais c'est comme ça,
je ne veux pas être d'ici
Tu peux le comprendre ou pas,
mais je,
je me donne en adoption.
Tu peux le comprendre ou pas,
mais c'est comme ça,
je ne veux pas être d'ici
Tu peux le comprendre ou pas,
mais je,
je me donne en adoption.

(…)

Processions, farbalas et tambourins
Témoin, royaume de sang et sable.
Ils t'ont ignoré à faire ses comptes,
les gardiens de l'héritage de la patrie noire.
C'est une drame, ou c'est une doléance?
C'est un pays, ou c'est une pénitence?
Ou seulement une triste coïncidence
avec le brochure de toute agence de voyages?

Ecce homo nous sommes tous
Ecce homo nous sommes tous
Mais avant que le quatrième Reich nous fait ses barboteuses,
meilleur que Gibraltar nous laisse être anglaises.
Assez de supporter l'infamie!
Assez de vivre un monopole où la banque toujours gagne,

Déchirez les drapeux,
passez-vous des patries,
et efforcez-vous d'être une province de l’Islande.

Et qu'est-ce que je fait maintenant?
Avec ma vie folle.
Dans cet absurde,
si l'Espagne est idiote.
Les mêmes malins,
les mêmes idiots.
Serait-ce que nous sommes
tous stupides?
Tu peux le comprendre ou pas,
mais c'est comme ça,
je ne veux pas être d'ici
Tu peux le comprendre ou pas,
mais je,
je me donne en adoption.
Tu peux le comprendre ou pas,
mais c'est comme ça,
je ne veux pas être d'ici
Tu peux le comprendre ou pas,
mais je,
je me donne en adoption.

Les protestations vont continuer parce que la situation et le mécontentement est très grand...

lundi 4 février 2013

Présent ou futur?

On habite dans une société qui pense toujours à l'avenir. On a pris l'habitude de vivre à l'avenir, pas au présent.

La plupart des gens qui étudient pensent à leurs qualifications, à leurs expédients. La plupart des gens qui travaillent pensent à leurs salaries et à leurs vacances. On se couche et on se lève avec l'ambition de faire bien les études et les travaux pour obtenir la récompense à l'avenir, et quand on l'a, on veux une meilleure récompense: toujours avenir, jamais présent. Toujours compétition. En plus, ça c'est un bon instrument pour l’oppression des gens (surtout des classes moyennes) et ça donne l'impression d'un cours de temps beaucoup plus rapide que en même temps nous angoisse, donc le dernier avenir est la mort.

Et c'est comme ça qu'on perd le présent, en fin de compte, la vie. On vit toujours dans le stress: le stress de l’attente d'être meilleurs et d'avoir plus richesse matérielle; le stress de penser à l'avenir quand notre corps vit au présent. Pendant ce temps, on perde la vie, on oublie apprécier les petites choses qui nous fait vraiment joyeux: les bisous de ton amour, le rire des enfants, les bons moments avec des amis, l'aire de la montagne... Mais on ne le sait pas: on vit dans l'avenir.

dimanche 3 février 2013

La violence, est-elle possible?

Comme tout le monde sait, la situation dans l'état espagnol est mauvaise, et chaque jour la défense de la violence comme solution augmente.

Tout d'abord, je considère la violence toujours négative. La violence est destructive, jamais constructive, et la destruction a un seule résultat: s'aggraver, retourner.

Mais, d'un autre côté, trop de gens avons proposé des mesures pour sortir de cette situation, mais nos «représentants» nous ont totalement ignorés. Après, ils nous ont insultés (Je les encule! de Andrea Fabra, émigrants avec l’esprit d'Indiana Jones de Marina del Corral, et bien d'autres) et ses mesures n'ont pas mis fin a la crise, mais les choses sont pires. Les classes moyennes et inférieures avons chaque jour plus de difficultés, ils continuent nous à nous ignorer, ils continuent à nous insulter et on découvre qu'ils sont des voleurs aussi (case Bardenas). C'est alors que la violence, négative, cependant devienne logique, très logique.

samedi 2 février 2013

Expliquer, décrire, prédire

Beaucoup de temps en étudiant la philosophie et il y a une semaine que je prends (ou je pense ça) la signification de expliquer, décrire et prédire.

Expliquer est exposer les causes, ce qui est «l'origine» d'une action. Alors, expliquer fait une référence au passé.

Décrire est exposer la situation actuelle d'une chose. La référence ici est au présent.

Prédire est exposer ce qui deviendra grâce a l'action faite. Bien sûr, la référence ici est au futur.

En quelque sorte, on peut dire que la description a un moindre degré de profondeur que la explication-prédiction. 

Cela dit, il faut continuer avec les actuations d'un théorie scientifique. Toute théorie obtient des dates par l'expérience et après formule ses hypothèses. Une bonne théorie explique les causes des faites et prédit les futures conséquences. Une mauvaise théorie seulement décrit la situation. A mon avis, les théories empiriques font surtout ce dernier, tandis que les systèmes hypothético-déductives font le premier: mais attention, il faut reconnaître qu'ils obtiennent leurs hypothèses de l'expérience.

Le commence

Je quitte Toulouse, une belle ville avec des gens très agréables et gentils, et surtout, avec deux langues que j'aime bien: l'occitan et le français. J'aimerais avoir appris meilleur le français et avoir appris un peut d'occitan, mais le travail que j'ai fait, et surtout mes études, ne me laissent pas. Mais je ne vais par abandonner le français, et ici je vous présente ce petit espace ou j'essayerais de m'exprimer dans ce langue, bien sûr avec beaucoup d'erreurs: si vous en connaissez et m'en dites, je serais très reconnaissant.