Les derniers
semaines j'ai adopté un discours très violente et polémique. Dans
ce blog on peut le lire, et j'avais deux grandes raisons. D'abord,
montrer les crocs a ceux qui ont provoqué cette situation critique
en leur dissent qu'ils sont en danger; d'autre côté, réveiller la
plupart de la population qui est endormie ou vive seulement à ses
banalités.
Mais c'est
que j'ai trouvé dans le deuxième cas est que cette population
préfère la tristesse que la haine, la dépression et ne pas
chercher une solution, le suicide est ne pas lutter. Alors, qu'est-ce
que je peux faire? Qu'est-ce que je dois faire?
Si
l'épistémologie s'articule autour de trois pôles, l'objet, le
sujet et l'intersujet ou communauté, la demande de Chomsky consiste
à «objectiver le sujet».
Ceci est tout à fait plausible si l'on s'en tient à la dimension
matérielle de l'objet, puisque, comme dimension matérielle qui est,
ça sera capable d'être l'objet de la recherche scientifique,
comme on trouve avec d'autres organes de l'être humain.
Chomsky n'est pas hors
de ce prémisse, donc il considère en tout temps la faculté du
langage comme une faculté qui se trouve dans un esprit-cerveau
physique. Toutefois, certaines questions telles que la prestation de
sens semblent échapper à cette réalisation objectiviste et Chomsky
semble ne jamais trouver une solution adéquate à ce problème, en
trouvent des incohérences dans son discours. Le problème devient
particulièrement aigu quand la sémantique influe directement sur la
syntaxe. Est la création de significations subordonné au matériel
et «objective»? Si non, cela ouvre une porte pour empêcher
l'importance de la subjectivité et de la perception individuelle
dans l'épistémologie en générale. Des questions similaires
peuvent être faites sur les pensées, les sentiments ou plus
important encore, la volonté. Trouvent-ils leur place dans un organe
mental? Ou est-ce quelque chose qui est «au-delà» du physique et
donc pas objectivable?
Mais même en
supposant que il y a un site
dans le cerveau qui correspond à ces questions, nous avons encore
une question, probablement le plus important du point de vue
épistémique: Est l'organe cérébral de la volonté qui détermine
la volonté de l'homme dès le début, ou bien a été la volonté et
un "esprit" non matérielle initiale qui a été imprimé à
l'organe cérébral de la volonté? Quand Chomsky établit une
distinction entre la raison et le mystère, et surtout entre la
science et le sens commun, semble tendre plus à ce dernier, même si
son intention initiale était d'objectiver le plus le sujet. Bien
sûr, si la bonne réponse était la première, cela signifierait la
destruction de la nature subjective, ou plutôt la considérer comme
un mécanisme créé par la nature objective.
Si à
la suite de la doctrine organiciste on applique la même question à
un organe mieux étudiée, comme le bras, la question a une réponse
simple: Est-ce que notre volonté a déterminé la forme du bras ou
est la forme du bras qui détermine notre volonté (de prendre une
banane dans un bananier, par exemple)? Logiquement, le bras est né
avec des caractéristiques initiales qui déterminent notre volonté
(pour prendre une banane dans un bananier, mais pas la lune dans le
ciel), mais en même temps, la volonté contribue à le façonner (p.
ex. le bras d'un joueur de basket) , donc la réponse évolutionniste
à la question ne donne pas une solution qui plait à tous. De plus,
la réponse est encore plus compliquée si on considère le caractère
aléatoire des mutations qui causent que deux organes soient jamais
complétement la même chose comme un argument en faveur de une
subjectivité donnée.
En lisant,
j'ai trouvé une jolie référence autour où est-ce qu'on doit
trouver les œuvres d'art, faite par le philosophe Martin Heidegger.
«Les
'sculptures de Egina' de la collection de Munich, la Antigone de
Sophocle dans la meilleure édition critique, elles ont été
arrachés dehors leurs propres espaces tandis que des œuvres qu'elles
sont. Cependant élevé son rang soie et fort son pouvoir de
précision, cependant bien conservés et bien interprétés qu'elles
continuent, en les boucher dans une collection on les a tiré de
leurs mondes. Par ailleurs, même quand on essaye de prévenir ou
éviter ses déplacements à aller, par exemple, a contempler le
temple de Paestum a son place et la cathédral de Bamberg au milieu
sa place, le monde de ces œuvres s'est effondré»
Aujourd'hui,
apparentement, est un jour normal. Je lis les canards: ces qui sont à
droite et à gauche, et aussi je lis des blogs comme «El ventano»
(d'ailleurs, un très bon blog). Pendant ces temps, mes amis, et la
plupart des gens jeunes et pas jeunes, achètent, boivent, se
couchent, et bien sûr, connaissent presque rien sur le monde, sauve
les nouvelles les plus choquant.
Un jour
chaque quatre ans, on a «le droit» de voter, et tout le monde a le
même pouvoir: les impliqués et les non impliqués. Est-ce juste? Je
ne crois pas. Alors, quelle est la solution? Permettre de voter
seulement aux impliqués? Une méritocratie qui est seulement une
façon de dictature?
Rien a voir.
En fait, la meilleur façon de gouvernement est de nouveau
l'assemblée populaire, l'assemblearisme. C'est la démocratie plus
directe, mais en plus résout le problème de la implication. Tout le
monde peut y aller et y participer dans les mêmes conditions
toujours, et si on n'y va pas, on peut pas décider et parler: alors,
c'est qui préféraient le football, les achètes, la fête ou le
canapé n'ont pas le droit de faire parti du gouverne.
Mais bien
sur, je ne vais pas finir sans dire que pour le correcte
fonctionnement de l'assemblée est nécessaire une éducation
spécifique et une nouvelle organisation territorial axée sur la
décentralisation.
Aujourd'hui on publie le nouveau disque de «Def con Dos» et je vous
présente le premier single, qu'on appelle "España es idiota" (L'Espagne est idiote) avec des paroles très bonnes pour
connaître et analyser la situation à l'état espagnol.
C'est une
situation, un situation «Def con dos». On va dire clairement, il ne
peut pas durer longtemps, est tout simplement insoutenable …
Sent fou dans la peau du taureau
Sent fou dans la peau du taureau
Sent fraude à la commun destination
Sent arnaque à la grande fausseté
de la grande et libre
qui est aussi merde que rance
Sous le joug éternel
travaillent des flèches
à perpétuer les valeurs de la patrie
Lesquelles?
Bâclage, pèlerinage, cavale et ignorance!
Poudre blanche à la politique et la banque
Poudre blanche à la politique et la banque
Juges rances qui travaillent pour Franco
Gant blanc en faisant des nouveaux «pirularios»
Corruption et népotisme sur n'importe quel côté
Et tous dans puits à digérer leur miracle
Moustache, sourcils ou barbe grise
vote pour l’imbécile que vous plaît
Et qu'est-ce que je fait maintenant?
Avec ma vie folle.
Dans cet absurde,
si l'Espagne est idiote.
Les mêmes malins,
les mêmes idiots.
Serait-ce que nous sommes
tous stupides?
Tu peux le comprendre ou pas,
mais c'est comme ça,
je ne veux pas être d'ici
Tu peux le comprendre ou pas,
mais je,
je me donne en adoption.
Tu peux le comprendre ou pas,
mais c'est comme ça,
je ne veux pas être d'ici
Tu peux le comprendre ou pas,
mais je,
je me donne en adoption.
(…)
Processions, farbalas et tambourins
Témoin, royaume de sang et sable.
Ils t'ont ignoré à faire ses comptes,
les gardiens de l'héritage de la patrie noire.
C'est une drame, ou c'est une doléance?
C'est un pays, ou c'est une pénitence?
Ou seulement une triste coïncidence
avec le brochure de toute agence de voyages?
Ecce homo nous sommes tous
Ecce homo nous sommes tous
Mais avant que le quatrième Reich nous fait ses barboteuses,
meilleur que Gibraltar nous laisse être anglaises.
Assez de supporter l'infamie!
Assez de vivre un monopole où la banque toujours gagne,
Déchirez les drapeux,
passez-vous des patries,
et efforcez-vous d'être une province de l’Islande.
Et qu'est-ce que je fait maintenant?
Avec ma vie folle.
Dans cet absurde,
si l'Espagne est idiote.
Les mêmes malins,
les mêmes idiots.
Serait-ce que nous sommes
tous stupides?
Tu peux le comprendre ou pas,
mais c'est comme ça,
je ne veux pas être d'ici
Tu peux le comprendre ou pas,
mais je,
je me donne en adoption.
Tu peux le comprendre ou pas,
mais c'est comme ça,
je ne veux pas être d'ici
Tu peux le comprendre ou pas,
mais je,
je me donne en adoption.
Les
protestations vont continuer parce que la situation et le
mécontentement est très grand...
On habite
dans une société qui pense toujours à l'avenir. On a pris
l'habitude de vivre à l'avenir, pas au présent.
La plupart
des gens qui étudient pensent à leurs qualifications, à leurs
expédients. La plupart des gens qui travaillent pensent à leurs
salaries et à leurs vacances. On se couche et on se lève avec
l'ambition de faire bien les études et les travaux pour obtenir la
récompense à l'avenir, et quand on l'a, on veux une meilleure
récompense: toujours avenir, jamais présent. Toujours compétition.
En plus, ça c'est un bon instrument pour l’oppression des gens
(surtout des classes moyennes) et ça donne l'impression d'un cours
de temps beaucoup plus rapide que en même temps nous angoisse, donc
le dernier avenir est la mort.
Et c'est
comme ça qu'on perd le présent, en fin de compte, la vie. On vit
toujours dans le stress: le stress de l’attente d'être meilleurs
et d'avoir plus richesse matérielle; le stress de penser à l'avenir
quand notre corps vit au présent. Pendant ce temps, on perde la vie,
on oublie apprécier les petites choses qui nous fait vraiment
joyeux: les bisous de ton amour, le rire des enfants, les bons
moments avec des amis, l'aire de la montagne... Mais on ne le sait
pas: on vit dans l'avenir.
Comme tout
le monde sait, la situation dans l'état espagnol est mauvaise, et
chaque jour la défense de la violence comme solution augmente.
Tout
d'abord, je considère la violence toujours négative. La violence
est destructive, jamais constructive, et la destruction a un seule
résultat: s'aggraver, retourner.
Mais,
d'un autre côté, trop de gens avons proposé des mesures pour sortir
de cette situation, mais nos «représentants» nous ont totalement
ignorés. Après, ils nous ont insultés (Je les encule! de
Andrea Fabra, émigrants avec l’esprit d'Indiana Jones de Marina
del Corral, et bien d'autres) et ses mesures n'ont pas mis fin a la
crise, mais les choses sont pires. Les classes moyennes et
inférieures avons chaque jour plus de difficultés, ils continuent
nous à nous ignorer, ils continuent à nous insulter et on découvre qu'ils
sont des voleurs aussi (case Bardenas). C'est alors que la violence,
négative, cependant devienne logique, très logique.